Ansell Sexual Wellness

Le préservatif Manix® : un partenaire indispensable !

• Le préservatif est le seul moyen de se protéger des infections sexuellement transmissibles et du VIH. Il est conseillé de l’utiliser lors de tout rapport sexuel avec pénétration vaginale ou anale.
  Les risques de transmission du VIH sont plus faibles lors d'une pénétration buccale, mais il est préférable d'utiliser un préservatif.
   
• Le préservatif peut protéger la femme du cancer du col du l’utérus.
   
• Le préservatif rend votre sexualité plus saine et plus hygiénique car vous êtes protégé.
   
• Le préservatif peut protéger des grossesses non désirées.
   
• Une fois en place, il se fait très vite oublier. Les préservatifs Manix® sont reconnus pour les sensations naturelles qu'ils procurent... grâce à leur finesse (Manix® Zero® est le préservatif en latex le plus fin de France) ou grâce à leur matière (la gamme SKYN® est en polyisoprène, la matière presque imperceptible).
   
• Le préservatif permet de varier les plaisirs (préservatifs avec textures stimulantes, préservatifs à effet retardant...) et permet de pimenter vos relations sexuelles...

Il est rappelé l’intérêt des préservatifs dans la prévention du VIH / SIDA et des autres IST
Les préservatifs sont des dispositifs médicaux
VISA 13/09/ANSELL/GP/001

Le préservatif protège du VIH mais aussi des autres MST (maladies sexuellement transmissibles) dont certaines peuvent à long terme entraîner des stérilités définitives chez les garçons et les filles.

Il sert à la prévention dans les rapports sexuels avec pénétration comme dans les rapports bucco-génitaux.

Les maladies sexuellement transmissibles étant en recrudescence depuis les années 1980, mieux vaut donc en connaître les symptômes pour mieux s'en protéger.

Les maladies traitées par antibiotiques :

• l'urétrite aiguë (dite "chaude-pisse").
  
  Elle est causée par plusieurs bactéries, dont les chlamydias. Elle entraîne un écoulement de pus jaune au bout de la verge et de vives brûlures en urinant.
   
• l'urétrite chronique (ou goutte matinale).
  
  Elle est causée par des bactéries telles que les gonocoques, les chlamydias ou les mycoplasmes. Elle se manifeste généralement le matin par l'écoulement d'une goutte translucide.
   
• la vulvo-vaginite (maladie féminine).
  
  Elle entraîne des pertes abondantes accompagnées de violentes démangeaisons génitales.
   
• la syphilis.
  
  Elle est causée par un micro-organisme nommé "Tréponème pâle". Elle se présente au départ sous la forme d'une petite plaie indolore sur les organes génitaux et d'un ganglion à l'aine.

Les maladies complexes à soigner

• les condylomes (ou végétations vénériennes).
  
  La maladie se caractérise par l'apparition sur les organes génitaux d'une petite tumeur en relief qui a le bord hérissé et présente des points rouges (d'où son surnom "crête de coq"). Le traitement est local soit par moyen chimique ou physique.
   
• l'herpès génital.
  
  Il apparaît sous forme d'un bouquet de vésicules sur les muqueuses génitales qui causent des sensations intenses de brûlures et de démangeaisons. Il se manifeste de façon cyclique, au moment où le virus est actif. Le traitement n'est efficace qu'au moment des poussées d'herpès et peut être proposé pour prévenir les récidives.

Une maladie grave avec vaccin : l'hépatite B
 

• l'hépatite B.
  
  Cette maladie peut débuter par un état grippal suivi d'une jaunisse. Si les symptômes du patient ne sont pas évidents à analyser, on aura recours à une prise de sang pour détecter l'infection. L'hépatite B est une maladie grave, qui peut être mortelle; elle augmente considérablement les risques de cancer du foie. Elle est largement répandue : 2 milliards de personnes en sont atteintes dans le monde. Cette maladie est la seule IST contre laquelle il existe un vrai vaccin.

Le sida, un ennemi contre lequel il faut absolument se protéger

• Le virus de l'immuno-déficience humaine (VIH) entraîne la dégradation progressive du système immunitaire, c'est-à-dire des défenses naturelles du corps. Il est à l'origine du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA).
• Bien utilisé, le préservatif est aussi un contraceptif. A l'inverse, la pilule contraceptive ne protège ni du VIH, ni des autres IST.
• Le préservatif est le seul moyen de lutter contre la propagation du SIDA et des IST.

Il est rappelé l’intérêt des préservatifs dans la prévention du VIH / SIDA et des autres IST
Les préservatifs sont des dispositifs médicaux
VISA 13/09/ANSELL/GP/001

Mode d'emploi

• Etape 1
  Ouvrez délicatement l'emballage individuel et sortez le préservatif. Attention aux objets coupants (ongles, bijoux...) pour éviter d'endommager le préservatif.
  Vérifier toujours que la partie à dérouler se trouve à l'extérieur.
   
• Etape 2
  Pincez avec les doigts le réservoir du préservatif afin d'en chasser l'air (un excès d'air emprisonné dans le réservoir pourrait causer sa déchirure).
   
• Etape 3
  Placez le préservatif sur le bout du pénis en érection et déroulez-le sur toute sa longueur tout en maintenant le réservoir. Si le préservatif ne se déroule pas, c'est qu'il est peut-être posé à l'envers. Il faut le jeter et en prendre un autre car du sperme peut déjà se trouver dessus.
   
• Etape 4
  Après éjaculation et avant la fin de l'érection, vous devez vous retirer en maintenant le préservatif à la base, afin d'éviter de le perdre ou de laisser échapper du sperme.

N'utilisez qu'un préservatif à la fois, même à l'occasion de rapports successifs.

Il est rappelé l’intérêt des préservatifs dans la prévention du VIH / SIDA et des autres IST
Les préservatifs sont des dispositifs médicaux
VISA 13/09/ANSELL/GP/001